2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année. La semaine 8 était consacrée à Kuala Lumpur.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année. La semaine 6 était consacrée au Japon.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année.
2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année.
Seizième année pour ma série « un jour en ». En 2021, les voyages sont interdits. 2021 propose alors de voyager dans le passé, au temps de l’argentique ou des balbutiements du numérique, de voyager hors de France, dans 52 pays, états ou provinces, 52 comme le nombre de semaines de l’année. Exploration de mes vieux négatifs, diapos, albums ou disques durs. Photos redécouvertes, scannées, post-prodées avec les outils de 2021. Brexit oblige, nous quittons 2020 par l’Angleterre.
Dans cette période si particulière qui nous prive pour la seconde fois de longs voyages, la consultation des vieux albums permet quelques moments d’évasion et de nostalgie. Lorsque j’ai séjourné au Chili, en particulier entre 1991 et 2000 lors de mes missions d’astronomie et ma coopération à l’observatoire de La Silla, le numérique n’existait que dans les caméras professionnelles qui équipaient mes instruments d’observation. On ne parlait pas d’argentique mais de pellicules, de tirages et agrandissements. On ne parlait pas de partage sur les réseaux sociaux, mais de photos collées ou épinglées dans des albums brochés, alignés sur des étagères et consultés lors de rares moments d’ennuis. Mes négatifs et diapos, scannés, revivent aujourd’hui, ravivés par lightroom, luminar et ON1, et « partagés » sur mon site. Je vous convie à une re-découverte d’un Chili déconfiné, 4500 km du Sud au Nord, de la Patagonie à Arica.
Un Santiago biaisé, entre Las Condes et Bellavista, le long du Mapuche, des quartiers les plus riches au plus traditionnel. Entre tours, promontoires face aux Andes, edificios aux appartement luxueux et maisons colorées, rescapées, clichés furtifs de la gente de Santiago, blondes taxis, couples enlacés et domestiques d’un autre temps.
