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Un jour, une nuit, un ciel en 2025: l’amas de galaxies Abell 2764 se lève sur un champ de Truchtersheim éclairé par le phare de ma voiture. L’amas abrite des centaines de galaxies qui baignent dans un halo diffus de matière noire (© Euclid ERO / ESA, NASA, Euclid Consortium).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: en mars, jusqu’à la remise officielle des données, les couleurs d’Euclid s’éteignent tandis que le noir et blanc s’impose pour l’image de la nuit terrestre. Ce soir, le ciel partiellement couvert au dessus de l’éperon du Kochersberg ne permet pas de voir le remarquable alignement actuel des planètes du système solaire. Les lampadaires de l’écurie captés à F/16 prennent l’allure d’étoiles (© Euclid ERO / ESA, Nasa, Euclid Consortium).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: les lumières (rouges) de février s’achèvent toujours en mouvement avec le relais hertzien de Oberhausbergen et les galaxies infrarouges débordantes d’activité de SMACS 0723, l’un des tous premiers champs observés par le James Webb (© JWST MIRI / NASA, ESA, CSA).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: conduire la nuit, déchiffrer les panneaux, déjouer les zones de travaux, se faufiler entre les feux, pour enfin aboutir à la nébuleuse de l’anneau (© JWST-MIRI, NASA, ESA, CTA)
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: Centaurus A a avalé en quelques dizaines de millions d’années une galaxie naine. Il subsiste de ce cannibalisme galactique d’épaisses bandes de poussières vues par la tranche par Hubble. Face à la gare de l’Est et l’arrêt de bus, les convives de la brasserie Chartier avalent rapidement un boudin noir, une andouillette ou les saucisses de leur choucroute avant de prendre leur train pour l’Alsace (© HST / NASA, ESA).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: rue Daguerre, Paris. Daguerréotypes. Agnès Varda. Jacques Demy. Les parapluies de Cherbourg. La galaxie du parapluie (NGC 4651, © NGVS/CFHT). En arrière-plan, les couleurs de la Nébuleuse de la Carène (© HST / NASA, ESA, Smith). Les couleurs du Bonheur « mon premier film en couleurs, c’était essentiellement une recherche de palette ». Agnès Varda. Rue Daguerre.
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: La galaxie spirale NGC 4254 a été choisie pour illustrer le cycle de la matière interstellaire: gaz éjecté des étoiles, recyclé en une nouvelle génération d’étoiles. Les cycles sont tout aussi omniprésents dans les rues de Strasbourg, ici et cette nuit dans le quartier de Finkwiller (©JWST / NASA, ESA, CSA, STScI, Lee, Williams)
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: une météorite, ici celle qui explosa au dessus de la baie de San-Francisco le 17 octobre 2012, © NASA/Moreno Jr), pénètre et brûle dans l’atmosphère à une vitesse typique de 50 km/s. Mais ce n’est pas une vitesse limite. Quant à cette voiture filant vers Truchtersheim cette nuit, dépassait-elle les 50 km/h autorisées? Quelques indices: le temps de pose était de 8 secondes; j’utilisais un objectif de 55 mm sur un capteur APS-C; la taille moyenne d’un arbre est de 15 m.
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: trois lampadaires le long des quais de la gare de Strasbourg vus depuis le parking Saint-Aurélie; au dessus, trois étoiles en apparence alignées de la constellation d’Orion superposée à la nébuleuse éponyme, largement grossie par Hubble (© HST / NASA, ESA, Robberto). Sur l’image d’avant-plan (© Britannica), ces nuages de gaz interstellaire apparaissent en bas à gauche comme une petite tache jaune.
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: Jupiter, encore; un village alsacien, le retour de vacances. Les bandes colorées de la planète géante proviennent de vents d’hydrogène dans l’atmosphère circulant le long des méridiennes à des vitesses atteignant les 500 km/h. Celles de Pflugriesheim d’une voiture circulant en principe à moins de 40 km/h (© HST / NASA, ESA, Simon, Wong).