Catégorie : Un jour

Octobre revisite la street, avec exclusivement un iPhone XR, et un traitement hyper saturé et lissé pour compenser les défauts de l’appareil et le manque de temps que j’ai consacré à ce thème. Les personnages sont présents, mais souvent cachés; la rue s’immisce à l’intérieur; les passants sont visiteurs; trams, vélos et voitures passent. Et le mois est enfin passé.

Septembre traite l’urbex, mais par son traitement est aussi traitre au genre: des édifices pas totalement abandonnés, pas encore recouverts de végétation ou de graffitis, des lieux pas toujours secrets. Mais aussi un mois qui a donné lieu à quelques séances urbi et urbex. 

Août questionne la photographie de mode, en évitant de faire un mode, en omettant d’employer des mannequins, et en négligeant les règles du genre.

Un mois devait bien naturellement être consacré à l’astrophotographie, et ce mois ne pouvait être que juillet, celui des couchers tardifs, et cette année de la visite de la comète Neo-Wise, un peu au dessus de l’horizon, sous la Grande Ourse, peu avant qu’elle ne faiblisse en s’éloignant du soleil tandis que le croissant de Lune croissait.

Juin en principe consacré à la photo animalière n’échappe pas aux photos de chats (Notre Mouky aka Bandit), d’insectes, et chevaux; bref ce que j’avais sous le déclencheur dans le Kochesberg. Les écureuils des jardins de l’observatoire ont disparu pendant le confinement.

Mai qui se deconfine est gourmande, avec mes photos et du jour, et les jours où j’ai oublié, comblés par les recettes du jour de Cyril Lignac, glanées sur le web.

Avril confiné éclaire et conceptualise les objets du quotidien.

Février explore la photographie de paysages, en noir et blanc: Dolomites, Oisans, et Kochesberg

J’explore en 2020 les différents styles photographiques, un par mois, en commençant en janvier par le selfie. Je n’en avais quasiment jamais fait jusqu’à présent, et cette expérience ne m’a pas réconcilié avec ce genre.