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Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : les reliefs extraordinaires de Hebes Chasma s’esquissent derrière l’olivier du jardin familial à Orange. Cette dépression martienne d’une profondeur de 6000 mètres se situe au niveau de l’équateur. En son centre, une forme voutée haute de 5000 mètres façonne un peu plus le paysage © Mars express / ESA, DLR, FU-Berlin).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : le cratère Jezero, site d’atterrissage et d’exploration du rover martien Perseverance qui dans un lointain passé – 3.5 milliards d’années – était probablement recouvert d’eau. La sécheresse terrestre toute relative contrarie aujourd’hui – cette nuit- la croissance du blé dans ce champ à l’entrée du village de Truchtersheim © Mars express / ESA, DLR, FU-Berlin).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : le 10 janvier 2022, à 12h12m37s (temps solaire moyen local), la sonde Perseverance prenait cette image d’un chaos rocheux à la surface de Mars. Cette nuit à 22h45m27s, le ciel au-dessus des pins du jardin était étrangement rougeâtre. (Mars Perseverance © NASA/JPL-Caltech/ASU).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : deux cyprès et l’une de leurs ombres qui en dessine un troisième ; végétation opulente et envahissante face à l’aridité et la stérilité du sol martien, révélées par le rover Pathfinder. A l’horizon, au-dessus des arbres, deux petits pics de quelques centaines de mètres d’altitude (Mars Pathfinder © NASA/JPL).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : la Lune cette nuit, comme une tache lumineuse, depuis le jardin de Chez Régine, à Fessenheim-le-Bas. La Lune il y a une dizaine d’années et ses roches, depuis le rover chinois Yutu (© Chang’e 3 / National Astronomical Observatories of Chinese Academy of Sciences
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : le Lunar Reconnaissance Orbiter a produit cette image spectaculaire du cratère de Schrödinger, d’un diamètre de 312 km, aujourd’hui partiellement occulté par les branchages d’un abricotier. Il a spontanément poussé dans notre jardin (© LRO / NASA).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : les hautes herbes du jardin poussent au milieu des coulées de lave du cratère lunaire Aristarque, situé dans l’océan des Tempêtes. Son diamètre est de 40 km. (© LRO / NASA).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : notre jardin, 22h passés, bis repetita, plus que 25 degrés; la surface de la Lune, le cratère Copernicus, – 200 degrés la nuit (© Luna Orbiter II / NASA, ESA, Schultz).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : notre jardin, 22h passés, encore 30 degrés ; la surface de la Lune, sous le cratère de Tycho, 120 degrés au soleil ; en-bas et au-dessus intimement mélangés ce mois (© HST / NASA, ESA, Ehrenreich).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025 : elle ressemble à une étoile, mais il s’agit d’une galaxie, ultra-lumineuse dans l’infrarouge, et vue justement dans l’infrarouge par un télescope aussi puissant que Webb, c’est un phare, un phare alimenté par une intense flambée de formation d’étoiles. La lumière sous-jacente révèle la présence de structures de marée, restes d’une fusion galactique qui a déclenché le starburst. Sur terre, la chaleur intense de la canicule oblige les habitants à ouvrir leur fenêtre la nuit venue (© JWST / NASA, ESA, CSA, STScI).