Un jour, une nuit en 2025: GRB

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: gamma-ray-burst, sursaut gamma, évènement le plus énergétique du ciel, un trou noir cannibalise une étoile moribonde, inimaginable mais représenté par une image d’artiste (© NASA, en haut), le thème de notre séminaire du jour à l’observatoire astronomique de Strasbourg, la photo de nuit prise depuis sa grande coupole (en bas).

Un jour, une nuit en 2025: en voiture

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: Trump réinvesti président, la Tesla d’Elon Musk probablement pour des millions d’années en orbite autour du Soleil et confondue il y a quelques jours avec un astéroïde géo-croiseur, notre Clio toujours vaillante après 25 ans de bons et loyaux services: dans quel monde vivons nous? dans quel monde virons nous dans quelques mois, années, millions d’années? {© SpaceX).

Un jour, une nuit en 2025: train SL9

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: au printemps 1994, sous l’effet de forces de marée, la comète Shoemaker-Levy 9 se disloquait en de multiples fragments. Le train de débris fonçait alors vers la planète Jupiter qu’elle allait percuter le 16 juillet. Un peu plus 30 ans plus tard, à la gare Brumath, un train partait pour Nancy.

Un jour, une nuit en 2025: Sombrero rouge

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: en ce mois de février, Terre et Univers se séparent en diptyque, l’un au dessus de l’autre. Mais cette nuit, dans le vol pour Frankfurt, sol et ciel se confondent à travers le hublot. L’atmosphère absorbe le rayonnement infrarouge. Un peu moins depuis un avion à 10 000 mètres d’altitude, encore moins sur l’orbite héliocentrique du satellite Spitzer, qui a pris cette image de la galaxie du Sombrero. En infrarouge, les poussières qui hier absorbaient la lumière sur l’image de Hubble, cette nuit chauffent et brillent d’un éclat rouge, tandis que les vieilles étoiles du bulbe galactique pâlissent dans un bleu froid et diffus.

Un jour, une nuit en 2025: Sombrero brun

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: une galaxie telle que nos yeux la voient: un océan d’étoiles, parsemé de bandes de poussière qui obscurcissent la lumière stellaire. Vues par la tranche, celles-ci dessinent un anneau sombre ou une soucoupe. C’est ainsi que M104 (la galaxie du Sombrero) survole la plage de Punta del Hidalgo, au Nord de Tenerife (© NASA/Hubble heritage).

Un jour, une nuit en 2025: amas d’intérêt

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: les amas globulaires (ici Terzan 1 vu par Hubble) ont été l’objet de présentations et discussions lors des deux conférences auxquelles je participe simultanément à La Laguna (ici l’une de ses rues typiques). Longtemps considérés comme ringards (car trop simples), ils mobilisent de nouveau les astrophysiciens, intéressés par leur capacité à tracer la matière noire et raconter l’histoire passée des galaxies. (© HST/NASA/ESA)

Un jour, une nuit en 2025: La Laguna

Un jour, une nuit, un ciel en 2025: il y a quelques années, les façades colorées de La laguna, classées au patrimoine de l’humanité, avaient inspiré mon projet face-à-face. Cette nuit, elles servent de faire-valoir à la tout aussi colorée nébuleuse… de la Lagune (M8), nuage d’hydrogène et de poussières, pouponnière d’étoiles, balayées par de formidables vents stellaires (© HST, NASA, ESA)