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Un jour, une nuit, un ciel en 2025: l’observatoire astronomique de Strasbourg, un soir de beau temps, un soir d’observations. La coupole est ouverte: on devine la fente sur le droite, et à l’intérieur la grande lunette qui ne pointe pas sur l’amas Abell 2390, bien trop ténu et lointain pour sa capacité limitée (Euclid fait incomparablement mieux), mais la lumineuse Lune dans son premier quartier (© Euclid ERO, ESA, NASA, Euclid Consortium).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: l’amas de galaxies Abell 2764 se lève sur un champ de Truchtersheim éclairé par le phare de ma voiture. L’amas abrite des centaines de galaxies qui baignent dans un halo diffus de matière noire (© Euclid ERO / ESA, NASA, Euclid Consortium).
Un jour, une nuit, un ciel en 2025: en mars, jusqu’à la remise officielle des données, les couleurs d’Euclid s’éteignent tandis que le noir et blanc s’impose pour l’image de la nuit terrestre. Ce soir, le ciel partiellement couvert au dessus de l’éperon du Kochersberg ne permet pas de voir le remarquable alignement actuel des planètes du système solaire. Les lampadaires de l’écurie captés à F/16 prennent l’allure d’étoiles (© Euclid ERO / ESA, Nasa, Euclid Consortium).