Un jour en 2025 interroge le ciel, celui auquel nous avons accès chaque jour, depuis notre lieu de résidence, travail ou de voyage, et celui magnifié par les observatoires qui, au delà du ciel, orbitent autour de la Terre ou d'un point de Lagrange. L'un nourrit ma passion de photographe amateur; l'autre alimente au quotidien mon travail d'astrophysicien. L'un requiert juste trépied et cadrage adapté mais doit composer avec la pollution lumineuse et la météo; l'autre s'affranchit à grand coût de la lumière ambiante et des nuages, mais doit accepter les faibles signaux sur bruit et la pixelisation de lumières émanant de lointaines galaxies. Le tout est assemblé dans une image composite ou un diptyque, formant ainsi la photo du jour ou plutôt de la nuit.